« Je frémis comme tous les autres mortels lorsque la Poésie m’apparaît, non pas dans les poèmes, mais mêlée à des éléments d’un autre ordre et plus prosaïques. »
Dans son pamphlet Contre les Poètes (1951), l’écrivain polonais Witold Gombrowicz (1904-1969) s’élève contre le purisme des esthètes hors-sol épris d’Absolu et se livre (en substance) à un vibrant plaidoyer en faveur de l’enchantement à petites touches du quotidien, ce royaume imparfait de l’expérience sensitive, concrète et incarnée, où (allez, extrapolation certes audacieuse mais en rien extravagante) de fugitives apparitions peuvent avoir le don d’éblouir l’horizon.
ps: Cette altière jeune femme à l’ondoyante crinière chocolatée est l’exquise Estelle Blog Mode, fashionista éclairée au sens de l’épure très affirmé (en l’occurrence tendance arty n’ casual) et dont les jambes fuselées mériteraient (sans conteste) d’être intronisées au leggy Panthéon de l’Humanité …
Great outfit dear! You look amazing
XX
http://www.floortjeloves.com
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Tu es divine, j’adore.
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Quand est-ce que tu me prends en photo moi ? 🙂
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( Merci, mais je ne suis pas le photographe, & mes compétences se limitent malheureusement à la mise en mots des photos postées ici 😉 )
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Cette fille est superbe et tes mots sont toujours excellemment choisis !
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Merci, je m’efforce toujours (& en toute modestie) de mettre ma prose à la hauteur de celles qui l’inspirent 😉 !
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Publication de cette beauté, la journée de mon anniversaire !
Aurais-je un petit quelque chose « en commun » avec cette sublime, Estelle ? À part la crinière chocolatée, je crois bien que non.
Merci pour la découverte de Witold Gombrowicz…
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Eh Eeeh Heureux de cet hommage involontaire alors 😉
Ooh pour les points communs je ne peux malheureusement juger, mais assurément suspecter un accès de modestie outrancier (« Expert ès pronostics » 🙂
Merci infiniment pour ce commentaire 🙂
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